Le monde illustré

Des pensées, des idées, des bonhommes allumettes.

Les nuages égarés
Pareille pas pareille
The left hand of darkness (collection privée)
Rencontres pastorales (collection privée)
La courtepointe (collection privée)
Étude pour « La gloire de mon père »
Le Champs de Cœurs
Le Champs de Cœurs au coin du Rang de la Pointe de Chemise
Love
(collection privé)
La philosophie (collection privée)
Le lancé des cailloux dans l’étang des tétards
Plage Barbe, 1972
De l’émerveillement naît la pensée
(mots et image en hommage à Marcelle Gauvreau)
Mireille à l’Oeuvre
La Communion – Le grand projet de l’Humanité et la clef du Monde Nouveau.
La mémoire d’une ondée (collection privée)
La Trinité
(collection privée)
Le parc Jeanne-Mance
Dans le bois d’Avril (collection privée)
Dans le bois d’Avril II
Croquis laurentiens (collection privée)
Se prendre dans les bras
S’attraper dans les bras
Ça on le pouvait
Se prendre dans les bras
S’attraper dans les bras
Ça on le pouvait
On le pouvait
On le pouvait
On le pouvait
On le pouvait

Monde Nouveau
Par Feu! Chatterton
Quand je broie du noir
J’en fais des volutes
(Collection privée)
La brunante
Dans la forêt où se cachent les animaux
Dans la forêt où se cachent les dieux
(Collection privée)
Moi expliquant à Liloo la science secrète de la cuisson à la Plancha. Plus particulièrement celle de la cuisson des Red Snappers.
Le jour exact où j’ai appris à dessiner.
(Feuille de croquis)
Le jour exact où j’ai appris à dessiner.
Merci maman. Merci Jacqueline.
À toutes les mamans, d’hier à aujourd’hui, qui donnent des ailes à leurs enfants (collection privée)
Je traine un paquet d’affaires dans la queue de ma comète
Entracte I
Entracte II

Moi qui donne vie à mes bonhommes allumettes
Chat l’Heureux
Une des toutes premières images du « Perseverance Mars Rover » après son amarissage.
Quand j’écris, ça fait du bruit
Relations pandémiques
Croquis pour The left hand of darkness
L’envol (collection privée)
La magie des images
À go, nous sommes au début des années 70. Le Square Saint-Louis s’appelait le Carré Saint-Louis. Crémazie y logeait toujours et les vespasiennes étaient bel et bien au Carré Viger. Les sculptures de Vaillancourt nous servaient de chevaux fantastiques. La fontaine était asséchée et le grand bassin rectangulaire, vestige du vieux réservoir d’eau, l’était aussi. Le grand « trou » était remplie de sable et de jeux d’enfants. Si on écoute bien, encore aujourd’hui, on y entend toujours les cris joyeux des enfants la paroisse Saint-Louis de France. C’était là tout mon monde.

Mon enfance au Carré.
Le club de foot de Montréal
Les Grandes Opinions
Le Petit Train du Nord arrive à la gare de Val-David
L’amour HI-FI-Wi-FI (collection privée)
La bourrasque
La résilience
Moi, ado et paléontologue
Frette à coucher dehors
Croquis animalier
Se pencher pour grandir
Ce que je vois c’est en passant
Fake News
Je dessine
Autoportrait bête
Le sous-bois
Vanessa à la Place-des-Arts
Croquis pour Vanessa à la Place-des-Arts
Rhapsody in Blue de Gershwin
Étude pour Rhapsody in blue
La binerie
Dessin sur acétate
Tout est publicité
Dessin sur acétate